
Placer les peuples autochtones, les communautés locales et les personnes afro-descendantes au cœur de la protection des forêts : mettre en place des mécanismes de financement direct efficaces.
Au moins 55 % des forêts du monde se trouvent sur les terres ancestrales des peuples autochtones, mais ces derniers avec les communautés locales et les peuples d’ascendance africaine ne reçoivent qu’une fraction de la finance climat mondiale.
La COP30 à Belém est le lieu de réaffirmer l’engagement de la communauté internationale d‘arrêter et d‘inverser la déforestation d’ici 2030.
Pour ce faire, il est important d’entendre la voix des peuples des forêts et de trouver des solutions durables en partenariat avec eux.
Organisé par le Fern avec le soutien du PFBC, cet évènement a mis en lumière des modèles innovants de financement communautaire dans les trois plus grands bassins forestiers du monde dont le Bassin du Congo.
L'événement a été animé par Tyala Ifwanga, chargée de campagne sur la gouvernance forestière chez Fern. Elle a présenté le sujet et animera un dialogue stimulant avec des intervenants inspirants du Fonds Nusantara (Indonésie), d'Integrated Development and Learning (IDL), du REPALEAC (Réseau des Populations Autochtones et Locales pour la gestion durable des Écosystèmes Forestiers d'Afrique) et du Fondo Territorial Mesoamericano..
C'etait le 12 novembre sur le Pavillon FORÊT, nous avons exploré des approches efficaces, inclusives et équitables en matière de protection des forêts et nous avons soutenu véritablement ceux qui ont sauvegardé les écosystèmes les plus vitaux de la planète depuis des générations.


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